13 et 14 octobre 2018
Près de 80 pratiquants par jours se sont retrouvés ce week-end du 13 et 14 octobre,
au Dojo de Terrasson-La-Villedieu en Périgord, à l’occasion de la venue d’Alain Peyrache Soke EPA ISTA.
Toutes les conditions étaient réunies pour savourer ce moment de transmission de savoir faire, de savoir être et de savoir vivre.
-Transmission de son savoir faire ;
Alain Peyrache, pour la deuxième année consécutive, a su mettre ses connaissances à la portée de tous, pour aider chacun à s’en saisir et continuer à développer, avec les autres pratiquants, l’aikido traditionnel tel qu’enseigné par le fondateur Morihei Ushiba.*
L’anecdote du Potier restera dans les esprits, et rappellera aux pratiquants qu’avant d’arriver à la justesse de geste, il aura fallu l’exécuter des centaines, des milliers de fois…La quantité d’erreurs corrigées, évitées nous rapprochera d’une pratique de qualité…
-Transmission du savoir être ; parce que comme le rappelle Alain Peyrache, l’aikido n’est pas qu’un catalogue de technique. Cette discipline nous ramène aux fondamentaux du vivre ensemble.
Le cadre martial du dojo, nous invite au respect du fondateur et de son art, de nos professeurs mais aussi des autres pratiquants qui nous permettent d’évoluer dans notre pratique et dans notre attitude en générale, et ce, même à l’extérieur du dojo.
-Transmission du savoir-vivre ;
parce que l’aikido est un art de vivre….. Les pratiquants du Périgord ont eu à cœur d’accueillir chaleureusement tous ceux qui sont venus de nombreuses régions de France et d’Europe participer à ce stage.
C’est dans une belle ambiance, simple et conviviale que nous avons partagé samedi soir, les saveurs de notre gastronomie locale avec la mique traditionnelle.
Merci à Alain Peyrache Shihan pour son enseignement de très grande qualité.
Photos bientôt disponibles !
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Citation aïkido traditionnel - Le "Ki" :
"Ki musubi, ki awase, ki no nagare, kime, kitaï utiliser votre ki pas vos muscles etc. de nombreux termes dans la pratique y font allusion et le pratiquant aussitôt de fermer les yeux, parfois se crisper se tendre pour exprimer sa concentration... le pauvre il ne sait pas de quoi on parle.
[...]
L'énergie "ki" pour les orientaux n'a pas de matérialité ou de conduit matériel spécifique dans le corps comme les veines, les artères les nerfs etc. C’est pourquoi l'esprit occidental a de la peine avec ce concept. "
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